J'ai un point faible.

Ouain ouain ouain...

... c'est dommage que les lendemains de brosse soient à ce point accablants. J'ai mal au corps (voir post précédent), j'sens une pression sur mes épaules, j'suis fatiguée que le crisse. blah.

Vendredi, j'ai pas veillé (mirâcle) pis sameid matin j'me suis levée plus tôt au lieu de me lever 5 minutes avant mon départ pour le travail, pis, mon dieu, j'ai vraiment aimé ça. Tsé genre, juste être en forme, juste pas être constamment cernée et avoir l'air malade juste parce que j'ai zéro sommeil récupérateur. pas avoir l'air de toujours avoir 15 tonnes sur les épaules.
Hier, avant d'aller à l'Azile pour voir le show de Belzébuth, j'étais fatiguée, y'était genre 21h30, pis j'ai failli pas y aller, j'dormais sur le divan. Ma soirée a vraiment valu la peine, c'tait fort agréable, mais disons que j'envisage mon hiver à Québec comme une cure de... repos, d'assainissement. J'crois que ça va m'faire du bien. En sale.

Et j'suis très contente: je ne travaille que les fins de semaine jusqu'à mon départ. J'vais donc me pousser quelques jours downtown Saint-Côme, chez ma mamie, dans le bois. Aaaaaaaaah.

Damn...

Shame on you crisses de trottoirs sales.
En plein dilemme entre mon estomac et ma rationalité, je décidâmes de rentrer chez moi.
Me v'là tu pas entrain de souffrir because toutes les osties de trottoirs sont de glaces. Et oui, malgré tous mes efforts et ma façon de marcher comme une petite personne agée un peu pressée mais incapable de faire des pas de plus d'un pied, j'me la suis cassée solide sur la glace, et j'ai l'flanc gauche qui douloure. Y'aurait pas pu neiger calvaire?
gre.

Confession.

Je retire une grande satisfaction de casser les clients qui m'obstinent sur les heures de bus alors qu'ils ont regardé le mauvais jour et que je leur réplique, précisément quand ils me sortent leur pamphlet pour me pointer l'heure à laquelle ils croient dur comme fer que le bus est sensé partir:

Un petit pas pour l'homme, une petite victoire pour la caissière.

Entendu au terminus, I

Voilà un nouveau concept postal, parce qu'il y a beaucoup trop de perles qui se perdent et qui méritent une place quelque part. Faute de mieux, ce sera ici.

- Le prochain bus est à quelle heure?
- 14h15
- Bin là, pourquoi !!?!?
- ... euh.. parce que... !?

Record!

YÉ!
RECORD DU MONDE C'MATIN!
En moins d'une heure, j'ai fait trois dégâts impliquant un clavier d'ordi, des papiers relativement importants, mon pantalon, du sucre et un café!
Yé!
Bon matin!

Joyeux Noël !

Joyeux Noël et bon temps des fêtes à tous!
Pour ma part, j'en passe un, ma foi, ô combien agréable. J'réalise à quel point je suis riche. Riche d'amour fraternel, celle qui unit famille et amis.
Je passe de si bons moments avec ceux que j'aime. Génial soirée avec ma famille.
Être surprise par mes amis, célébrer mon Noël 2008 avec eux.
C'est comme si après tout ce que les derniers mois ont pu me faire vivre de brun et de débarques, et bien je ressors amochée et rampante de cette période, mais j'lève la tête et j'vois mon entourage qui me tendent la main, me relèvent et me soignent avant de me laisser continuer mon chemin.
(j'ai beaucoup trop l'image de ce que je viens d'expliquer dans ma tête. Faute d'être claire, ça fait une semaines ou deux que je veux l'illustrer, j'ferai ça éventuellement.)
J'ai reçu 2 livres vraiment chouettes dans lesquels je peux écrire mes états d'âme (merci maman, merci Marc ;) ). J'ai donc décidé d'abréger mon Points d'récupération (le livre) pour tourner la page sur mon automne. À chaque étape son livre.
J'vous souhaite d'être heureux, je me le souhaite aussi. J'pense qu'on est dû. J'pense qu'on le mérite.

P.S.: Pour ceux qu'ça intéresse, si vous ne trouvez pas le ë sur votre clavier, c'est alt + 137.

Les FAD'UPTAT, conclusion.

Ce qu'il y a à retenir de cette paaaaaaaalpitante saga?

1. Ne jamais se fier à météomédia pour prévoir comment se déroulera sa journée. Tout ce qui s'est passé n'avait entièrement rien à voir avec la tempête.

2. J'ai beaucoup de temps libre au terminus.

3. Je regarde dehors et anticipe ma marche pour me rendre chez moi tout à l'heure, car tout ce que je vois, c'est du blanc et du re-blanc.

3.1, ajouté à 13h00: j'ai câlissement hâte de finir.

Les FAD'UPTAT, part. 4

Dernier départ prévu à 11h50. Tout était sensé se dérouler comme il se devait. HA-HA.
Une dame arriva vers 11h40, guitare au dos.
- Il y a bien un autobus à 11h50 pour Montréal?
- Oui, vous aurez un transfert à faire à Repentigny, et vous arriverez vers 13h25 à Montréal, lui répondis-je en me croisant les doigts pour que tout soit en ordre pour une fois. C'est alors que je vis le monde s'écrouler autour d'elle. Elle avait téléphoné au numéro de Terrebonne pour avoir les informations, avait mal été informée car elle pensait être à Montréal pour 12h50. Elle avait un spectacle de Casse-Noisette à 14h00. Je compatis avec elle, manquer un beau spectacle. C'est alors qu'elle me fit comprendre qu'elle n'allait pas être spectatrice, mais qu'elle faisait partie du spectacle, en tant que musicienne. Lorsque l'autobus arriva à l'heure et sans anicroche, je remerciai le ciel et espéra que le transfert se fasse en bonne et due forme.
Alors, chers spectateurs de la représentation du 21 décembre de Casse-Noisette. Le retard du spectacle ne fut point de MA faute. Mais ça, ce n'est pas votre problème...

Les folles aventures d'une première tempête au terminus, part. 3

Dring Dring

- Terminus de Joliette bonjour?
- Oui bonjour, c'est pour une information.
- Oui?
- Est-ce qu'il y a des départs quand même aujourd'hui malgré la tempête?
- Il n'y a pas d'annulations de départs, mais il est possible que les autobus aient du retard à cause de la température.
- Beaucoup de retard?
- On ne sait jamais madame.
- Merci, au revoir.
- Parfait, au revoir.

30 secondes plus tard...

Dring Dring

- Terminus de Joliette bonjour?
- Oui bonjour, c'est pour une information.
- Oui?
- Est-ce qu'il y a des départs quand même aujourd'hui malgré la tempête?
- Il n'y a pas d'annulations de départs.............

x 1 000 000 000 000.

Les folles aventures d'une première tempête au terminus, part. 2

Ouf, premier problème résolu.
Deuxième départ à 10h15. Cinq minutes de retard. Rien à en redire.
Troisième départ à 10h40. 10h35, l'autobus manquait toujours à l'appel. Ô mirâcle, mon bon ami de notre sainte-mère la répartion me téléphona lui-même pour m'annoncer la grande nouvelle: "Le départ de 10h40 aura du retard. Il vient d'avoir une crevaison, il doit donc retourner au garage, et on doit préparer un autre autobus pour qu'il vienne chercher les clients."
Youpi. J'annonça la triste nouvelle aux clients qui, compréhensifs et résignés, n'en firent pas un cas. Qui au monde peut-il prévoir une crevaison. La grande aiguille tourna, pour atteindre le fatidique moment de la demie-heure de retard. La demie heure semble symbolique lorsqu'il y a retard. Ça sonne le glas de la patience dans le cerveau des gens. L'autobus de Montréal arriva, et un chauffeur, qui n'était pas celui scédulé pour le départ en retard entra dans le terminus, et sema la confusion chez les usagers.
- Y'a un bus et un chauffeur, y'est où le problème?, me demanda un client, avec une lueur sombre et impatiente à l'oeil.
- Ce n'est pas le chauffeur désigné, probablement que le bon chauffeur arrivera bientôt pour prendre cet autobus, répliquai-je, sans trop savoir quoi dire de plus, et surtout ne sachant pas que le chauffeur présent sur les lieux était finalement celui qui allait vraisemblablement faire le départ. N'en sachant rien, j'eus tendance à répondre à l'homme en question avec une certitude de ce que j'avançai.
- Ouais mais y'a un chauffeur pis un bus. C'est tout ce qui nous concerne. Le reste, c'est pas notre problème. On doit aller à Montréal, me répliqua-t-il, sur un ton quelque peu agressif.
- Techniquement, c'est pas le problème du chauffeur qui vient de finir son quart de travail non plus, ni celui de celui qui a eut le flat, ni même le mien, ni même celui du garagiste, ni même celui du temps lui-même, pensai-je en mon fort intérieur. Me calmant, je répondis simplement:
- Ça ne devrait pas tarder que l'autre chauffeur arrive.
Le client me cracha à la figure. Symboliquement parlant. Ses yeux me cracha à la figure plutôt.
Finalement, le chauffeur sur place vint annoncer son départ, contredisant toute mon argumentaire faite il y avait de cela deux minutes, me laissant seule avec le regard de conquistador du client de tantôt. À suivre...

Les folles aventures d'une première tempête au terminus, part. 1

Hier, je regardai la météo, pour voir à quelle heure la tempête était schédulée au programme pour le lendemain. Travaillant au terminus de l'aube au midi, je souhaita ne pas voir tous ces flocons s'abbatre pendant mon quart de travail, m'évitant ainsi tous les retards des autobus et mécontentements des usagers.
Quelle fût ma joie en voyant que tout cela n'allait que débuter vers midi, une heure, me permettant ainsi de m'esquiver de mon travail sans subir les conséquences.
Je me rendis donc au neuf cent quarante-deux rue du Saint-Louis, bravant le froid mordant d'un matin glacial. Premier départ à 7:45. 7:40, l'autobus manquait toujours à l'appel. Ainsi, en bonne employée qui écoute les directives patronales, je téléphona à notre sainte mère, la répartition. Surprise? Suite à un malentendu ma foi fort dommage, le chauffeur sera en retard... de combien de temps? 1 heure. Joie! N'ayant aucun client en attente pour ce départ ici, je me dis que la situation n'était guère dramatique, jusqu'à ce que me poussa le souvenir du dame travaillant à l'assomption et attendant ce bus dans le centre-ville. Pauvre dame. Je l'imaginai gelée sur le coin de la rue. Et bien mon imagination se matérialisa devant moi, et je vis la dame en question surgir devant ma fenêtre, paniquée, me demandant: "Qu'est-ce qui s'passe avec le bus?" Voyant sa pression monter à chaque syllabes, je la rassurai tout de suite qu'il y aurait un retard, mais qu'il allait belle et bien être là.
Effectivement, je le vis retontir 1 heure plus tard. À suivre...

Radio-Can me gâte...

Dès le 14 janvier, exclusivement pour ma fête:

J'ai hâte d'avoir 21 tout d'un coup.

CESSEZ DE DORMIR...

... DIVERTISSEZ-MOI.

Toujours pareil. De tout mon avant-midi de travail le samedi, personne sur msn.
y DORMENT.
pis chu jalouse bâon.

C'est bon d'être à la maison.

Aaah là là.

Comme c'est bon d'être back in town avec ses amis. Quelle(s) belle(s) soirée(s) déjà passée(s) en votre présence.
Peu importe ce que je peux vivre, que ce soit de petits plaisirs quotidiens ou d'la grosse marde sale, je sais, j'en ai même la certitude, que ces amitiés ne passeront jamais. Qu'elles seront toujours là, fondamentales à ma vie, qu'elles seront toujorus bien incrustées au fond de moué. Peut-être peut-ce-t-il ce message paraître quétaine ou whatever quelconque lieu commun de la sorte, mais crisse que ça fait du bien de vous avoir dans ma vie.

Reste plus, pour que ce temps des fêtes soit parfait, laisser de côté mes habitudes fêtardes et vivre du bon temps familial comme j'aime tant dans ces temps de réjouissance.

Espérance que cette année soit la bonne, j'vous en parles dans quelques mois.
En attendant, let's profites du bon temps calvaire.

Iiiiiiiiii!

J'suis siiiiii heureuse!
Oui, bon, j'ai fini ma session, mais c'est pas ça qui m'emballe le plus...

...

J'VAIS ÊTRE MARRAINE !!!!! Ma soeur est enceinte!!!
J'suis sur un nuage, tellement heureuse pour elle et Martin!! Aaaaaah!
Joyeux, joyeux décembre !!!

Iiiiiya.

Sprint.

Beau soleil, beau réveil.
Espérant que c'est un bon présage pour mon examen, le dernier. 'Me suis levée tôt pour étudier.
J'crois pas avoir trop de problème avec celle-là. J'croise les doigts.
Petite balade dans le vieux avant mon examen. La dernière de 2008. 'Fait si beau, faut j'en profite.
Ensuite, examen, retour à l'appart, ménage intégral, paquetage de stock, et demain... back in Joliette town.
Ouais ouais ouais. Bonne journée!

Peace mânne.

Aaah, les dimanches ne ressemblent nettement pas au samedi.
Top forme, petit café, lecture d'un bon livre, bonne musique qui sort des speakers.
Pas d'stress parce que je remonte seulement demain à Québec, donc peut prendre ça pénard en finissant de travailler.
Wow. J'vais m'ennuyer de c'travail, ça c'est sur.

Maudit, maudit samedi...

Ouh là là
Mal de tête, fatiguée, 'goût de dormir...
C'est samedi matin, pis j'suis au terminus.
En lendemain de veille, comme d'habituuuude. Mais messemble qu'aujoud'hui, c'est pire.

DAMN !!!!

Nan, je triche un peu, il me reste un examen d'histoire de l'art mardi.
Mais dans ma tête, j'ai fini. Vraiiment.
Enfin, calvaire, ENFIN. MY GOD.
J'y suis arrivée. J'ai failli m'noyer bin des fois, mais j'me suis rendue.
J'aurais l'goût d'pleurer tellement j'suis contente.
Partyyyy!

Ça approche... vrinmint.

(un jour, j'aurai p't'être bien une qualité d'image supérieure...)

Ça s'en vieeent...

La fin d'une saga...

Môdit, j'ai mal géré mon temps. Encore une semaine à faire et... je viens d'écouter la dernière épisode de la dernière saison de Nos Étés. J'en veux encore!

J'vous la recommande, vraiment.

Bon, it's time to work!

Photos mânne.

J'me suis souvenue que j'avais un compte Flickr avec diverses photos prises dans les deux/trois dernières années, genre en Gaspésie, su'a Côte-Nord, ailleurs.

Genre si vous cliquez ici, vous allez les voir.

Retour aux sources.

Ouain, ouain, ouain.
J'suis allée voir Mes Aïeux hier. Damn que c'était bon. Beau. Beau surtout. Ils sont beaux. Les harmonies vocales sont tellement belles. Tsé, ça sonne aussi bien en show. C'est vraiment impressionnant, agréable.
Le seul hic, c'est que c'était assis. Style cabaret. Coup de chance incroyable, j'ai acheté les billets le matin même, pis on était assises, ma soeur et moi, en avant. Table 106. Les deux sièges accotés au stage.
J'dois avouer que... c'est assez impressionnant de les avoir à ce point dans nos faces.
Aucune tête pour nous cacher, mais... c'tait assis. Je me serais bien levée pour danser (bon, quand même, il y a quelques chansons qu'on a pu être debout.) mais étant première en avant, j'aurais caché tout le monde derrière moi + aurais été beaucoup trop dans leur face. J'suis allée sur le côté une fois pour danser, mais je ne voyais que dalle, alors... j'ai sacrifié mon désir de danser pour mieux voir le spectacle.
Mais sinon, wow, wow et re-wow. Pis ils ont fait Le repos du guerrier. Tellement de souvenirs attachés à cette chanson, j'en ai eu des frissons.

Faque c'est ça. Retour aux sources cette semaine. Aller voir un show des Cowboys pis un show des Mes Aïeux quasiment back à back, ça te crinque une fille. Vraiment. J'me suis souvenue pourquoi j'aimais tant ces deux bands là. Pourquoi y'a 5 ans, j'avais accroché sur eux complètement.

Fou rire.

Parce que c'est crissement drôle.

Je me souviens.

Je me demandais pourquoi j'aimais encore les Cowboys Fringants.
J'en écoute pu vraiment, je me suis acheté le nouvel album, je l'ai trouvé bon, mais je ne l'ai pas écouter sur repeat pendant des semaines.
Je me disais que je les aimais par principe, parce que ça été ZE premier groupe sur lequel j'ai vraiment trippé, le groupe qui m'a ouvert sua musique québécoise.

Bin hier, je me suis vraiment souvenu de pourquoi j'aimais et j'aime encore les Cowboys. J'ai dansé comme une malade sur Joyeux Calvaire et Awikatchikaen (qui ont été jouées back à back sans arrêt dans la musique. damn, c'tait chaud.)
J'ai été émerveillée en voyant les cellulaires pis les briquets allumés pendant Les Étoiles Filantes.
J'pourrais en nommer pleins de même: Plus rien qui en show est toujours tellement belle, Marie-Annick qui violonne et accordéonne et que c'est tellement impressionnant à chaque fois, Karl qui s'pitche dans foule, Jérôme et J-F qui ont des springs dans les pieds et ô combien d'énergie, la foule invitée sur la scène pendant Tant qu'on aura de l'amour, Léopold pis Banlieue, etc...

C'est un band qui rassemble le monde, qui est vrai, qui a tellement d'énergie à donner. Un groupe que je ne me lasserai jamais d'aller voir en show.

Ouain, c'est ça. J'les aimes les Cowboys Fringants.

..., 2.

Dans une semaine bob. dans une semaine.
Ça va être fini.
Enfin... enfin.

Boouh.

Messemble que ça serait fûn que les matins de mes nuits blanches y fasse beau.
J'sais pas, ça me... comment dire... me ferait feeler youpidoudlaïdou.
Là, c'est plus comme: mânne, y fait aussi noir que c'te nuitte.
C'est bouuuuuh.

YÉÉÉÉ!

The suuuuuun is shiiiiniiiing! The weather is sweeeeeeeeet!
Make you wananaaaa mooooove your daanciing feeeet noow

Le siignaaal est revenuuuuuu!
J'peux continuer d'écouter mon prôôôôgraââmme!

Lalalallalaaaa !!

NOOOOOOOON!

Enfer et damnation!
Pourquoi Dieu, pourquoi me punir ainsi!!

... mon illico a planté, j'peux pu écouter mon prôgrâmme.
C'est peut-être un signe du ciel que j'dois m'atteler à mes travaux.
...
hihi, ok. j'm'y mets.

...

NOOOOONNNNNNNN, enfer et damnation.

Nos étés...

... c'est bon en crisse.

J'viens d'écouter les deux premières saisons pis j'entâme la troisième.
J'avais déjà vu la première, une partie d'la deuxième pis pas mal toute la quatrième.
Mais la trois, Aaaah! Que du nouveau!

Comme c'est une saga familiale, pis qu'il y a comme deux époques par saison, damn, quand j'ai écouté la quatrième, j'étais fourrée dans qui était qui.
Mais là, touuut s'éclaire! Wwwoooooowwww!
J'y retourne ! :D

Vide total. Juste être.

J'aimerais être là.

Photo prise en janvier 2006, à Cuba.

Une nuit à l'image de l'hiver.

Allez hop, on repart pour un petit deux semaines avec peu de sommeil.
Deux semaines (et une poussière). Ça passe si vite.
Comme à mon habitude, j'passe une nuit blanche pour mes travaux.
Mais c'est vraiment pendant la nuit comme ça que toutes mes culpabilités de procrastinatrice prennent le bord.
J'suis bien, café à la main, pas pressée, sans limites de temps.
Parce que je me connais. Je l'sais que je serai capable de le faire à temps.
"On dormira demain" comme disait Kaïn.
En plus, ça me permet d'écouter des films et de (re)découvrir des séries. Car j'ai besoin que la tivi soit ouverte pendant que je travaille.
J'm'enligne pour me retaper les 4 saisons de Nos étés, série que j'aime tant, mais je crois avoir sauté une année.
Anyway, écouter toutes les émissions back à back est vraiment cool.
Peut-être que Les invincibles y repassera aussi, pour finir la session comme elle l'a commencée.

Le volume du vent - Karkwa

J'sais pas comment le dire.
Cette pochette, est, selon moi, l'une des plus belles qui a été faite, si ce n'est pas LA plus.
Mais "belle" n'est pas le bon terme. La couleur, l'atmosphère, le traitement d'la peinture. c'est intense, habité.
c'est ce qui me donne le goût d'en faire. vraiment, elle est... elle est.

Oublie pas - Karkwa

Petite prestation acoustique de cette magnifique chanson.

Rêve 3.

Quelle nuit productive côté rêve. J'aime ça.
J'ai envie de vous raconter c'qui s'est passé dans ma tête quand j'suis allée me recoucher après le précédent message.
(parce que je ne vous raconterai pas le dit rêve du post ci-bas, c'est personnel huhuhu.)

Je suis en voyage à New York, mais la ville est construite grosso modo comme la ville de Québec (genre de mon apparte à la basse-ville, au Vieux-Port.)
Je suis en voyage avec deux personnes, mais suite à une petite algarade (merci Monieur Bureau de me permettre de faire comme si je savais des mots à 300.00$), on s'était retrouvé seulement deux.
Alors on était à la dernière journée de notre voyage, on devait prendre le bus le soir, pour s'en aller à Joliette, pour aller à la fête à Clara.

Donc on décide de quitter notre gîte (qui est mon appartement d'en ce moment) pour se rendre à une petite grotte en basse ville, à une vingtaine de minutes de chez moi, pour lire un peu et relaxer.
Je m'installe pour lire, confortablement (je lisais Trilogie New Yorkaise de Paul Auster, livre que je lis en ce moment. étrange)
Pis on entend un rugissement vraiment intense, on sort d'la grotte pis on voit un genre d'avion gonflé, rouge vif, qui est en fait plus juste un gros cylindre, décoller du sol et s'envoler. On trouve ça weird mais on n'en fait pas de cas.

Pis là, on regarde comme il faut, pis dans le ciel, il y a beaucoup d'avions qui droppent des trucs au sol. Panique totale, on pense que c'est des bombes pis que la ville se fait attaquer. mais ce n'est pas des bombes qui sont droppées, c'est... n'importe quoi.
Y'a un énorme panneaux publicitaire qui s'éclate au sol sur quelques passants, pleins d'objets qui tombent. On essaie de retourner à l'appartement, c'est le chaos dans la ville, tout le monde cours partout parce que, c'est vraiment difficile d'éviter un "missile".

Évidemment, je n'y manque pas, et c'est une grosse femme en robe de mariée qui tombe sur ma jambe. Elle me regarde, me dit: "Merci pour de m'avoir amorti." et repart en criant: "À bas la surconsommation américaine! À bas la surconsommation."
En boitant un peu, on se dirige vers le terminus.

Le bombardement à cessé, mais on est incapable de faire deux pas sans regarder le ciel. On a vraiment peur.
On arrive tant bien que mal à la station de bus, où on a manqué ce dernier pis quon est pogné pour attendre genre... encore 2 heures (que je n'ai pas vu passer dans l'rêve).
Je constate que j'ai oublié mon livre dans la grotte, et ça me fait vraiment chier.
On arrive au party, et je réalise avoir oublier le cadeau de Clara (et moi de réagir en m'écroulant à terre et en me fracassant la tête au sol + tout le monde rit de moi)
Je réalise aussi être habillée en noir et je me trouve poche.
Ensuite c'est beaucoup moins clair, mais y'a un gros bout du rêve qui a rapport au party. Mais je m'arrêterai ici.

En me réveillant, 3 réactions:
"Yessss, j'vais pouvoir finir mon livre", "Yessss, j'ai pas oublié le cadeau à Clara" et "J'ai rêvé à ça... c'tait bin weird".

Bonne journée.

Rêve 2.

Il y a de ces rêves qu'au contraire, on ne veut JAMAIS, mais JAMAIS se réveiller.

Quand mon cadran a sonné, j'étais tellement en rogne contre ce stupide objet à bip de m'avoir extirpé de cette histoire dont vous êtes le héros.
Je crois que j'ai lancé mon cadran loin, voire même hors de l'appartement, car il reste encore introuvable.
Mais... il l'a mérité, connard de réveil-matin.

Antidépresseur

Tu es triste? Tu t'emmerdes? Tu as beaucoup de temps à perdre (30 minutes genre)?

Tu veux que les muscles de ton visage travaillent un peu? 

Tu veux rire?

Je te propose donc ces trois vidéos.

Parce que, crisse que c'est drôle.

À tous coups, c'est une source de drôlitude.

Expérience contrebassielle. (hum.)

'Me lève, petite (euphémisme) neige qui tombe, oooh que je n'ai pas envie d'aller à mon cours, mais je me botte le derrière, me sors de mon lit ô combien confortable, particulièrement ce matin, évidemment.

Cours de dessin. Mon dieu, j'ai tu bien fait d'y aller.

D'habitude dans ce cours, on fait du modèle nu, mais notre prof nous avait dit que cette semaine, ça allait être un modèle habillé, avec un accessoire. 

bon, moi, j'm'imaginais un costume clinquant, aucunement inspirant.

On rentre dans le cours, et on voit ce gros instrument tellement imposant qu'est la contrebasse, avec le modèle (ma foi très beau, et non, il n'était pas nu.)
J'me suis dit: cool, c'est inspirant tout ça.

Et bin en plus, pendant quon le dessinait, il jouait! c'était tellement intense comme... expérience de dessin.
C'était beau, on avait tous une attitude différente, on était tous plus habités que d'habitude.
bref, wow. j'ai vraiment adoré ce cours.

Conversation msniale.

AA :):D dit : (22:20:10)
lolllll :) ca va pas toi??
beüb. >> dit : (22:20:26)
ma te ldire bin franchement, je lsaispas
AA :):D dit : (22:20:36)
raconte!
beüb. >> dit : (22:21:22)
l'alcool teinte mon présent d'une joviale ivresse qui m'emmène vers le sourire niais et le bonheur éphèmère, mais la prise de ce vin rosacé ne me rends pas dupe du fait que c'est pour masqué un état peu joyeux que je l'ai fait
AA :):D dit : (22:21:55)
la phrase est belle, mais le sens très triste!



ouain ouain ouain. c'est ça. chouuuuu.

Blog BD.

J'suis accro aux blogs bédés.
Vraiiment.
Je ne peux pas en commencer un sans vouloir le lire au complet.

Mais le problème, c'est que une fois qu'il est lu au complet, môôdit... faut attendre les p'tites bribes à chaque jour.

Ce soir, j'suis sur celui-là: http://grumeautique.blogspot.com

C'est tellement comique!! Les aventures d'une maman, c'est vraiment drôle. Elle a vraiment une façon d'écrire et surtout de dessiner, de rendre les anecdotes vraiment comiques.

J'aimerais ça dessiner comme ça. Illustrer sa vie, c'est quand même cool comme idée.

Biiin oui.

J'change de look, comme ça, une folie.
Folle de même.
Non mais, y'en a tu d'la variété là-dedans!

Rêve.

Ark, je pense que le plus désagréable rêve à faire c'est celui-ci.

Tsé quand tu te réveilles en sursaut en te disant: "fuck, fuck, FUCK. j'avais un cours que trop important ce matin. pis je me suis pas levée, FUCK."

Pis là, tu te re-réveilles en sursaut en te disant: "aah, c'tait juste un rêve mais... fuck, fuck, FUCK. j'avais un cours que trop important ce matin. pis je me suis pas levée, FUCK."

Pis là, tu te re-réveilles en sursaut en te disant: "aah, c'tait juste un rêve mais... fuck, fuck, FUCK. j'avais un cours que trop important ce matin. pis je me suis pas levée, FUCK."

Pis là, tu te re-réveilles en sursaut en te disant: "Estie, on est lundi, pis t'en a pas de cours."

Grrr. je déteste ce genre de rêve là. C'est comme quand t'es entre deux miroirs qui se reflètent à l'infini. t'es comme jamais sure de quand ça arrête, pis la perception que t'as est toujours un peu déformée.

Bref, c'est lundi, pis j'ai pas de cours! wouhou.

Blank.

Blank est une entreprise québécoise qui offre des vêtements de qualité à prix abordables. En fabriquant nos vêtements au Québec, nous appuyons l'économie locale, pensons environnement et sommes assurés que notre production est faite dans le respect des travailleurs.

De la fabrication du tissu à sa teinture, de la coupe de ce dernier à la couture, tout est fièrement fait au Québec!

http://www.portezblank.com/

J'suis allée là aujourd'hui. Jass avait besoin de vêtements pour son voyage et il cherchait des endroits où les vêtements étaient équitables et faits au Québec.
Alors nous sommes allés au Blank.

Vraiment chouette entreprise. Les vêtements sont simples, jolis, vraiment abordables.
On a discuté avec la vendeuse, pour savoir un peu l'histoire de cette entreprise, et ce fut vraiment intéressant.

C'est au 4276 Saint-Laurent, entre Mont-Royal et Rachel.
Allez faire un tour, ça vaut la peine.

Doux moments.

Seb et son petit choeur + Dominic Cornellier + Jérémi Mourand + divan orange + montréal + pleins de personnes que j'aime beaucoup + d'la bonne bière = quelle belle soirée. j'ai vraiment apprécié. :)

Lamarche, Claire Lamarche.

Que fait Bob la veille de la remise d'un travail qu'elle a, pour une fois assez incroyable, fait en avant midi, afin de se coucher de bonne heure pour une fois?
Elle décide de se faire un p'tit café, pour le fun, pour se... relaxer.
...
LOL. dinde. j'ai pas encore appris que la café me speed?
Résultat?
Je me suis couchée à minuit trente, et y'est rendu 2h20, pis j'ai les yeux ronds comme des balles de golf.
We don't need no sleep at all, disait Creature.
Ouain. Bon, trêve d'introduction de ce post, parce que c'est même pas de ça que je veux parler.

Qu'ai-je décidé de faire pour tuer ce temps caféiné?
... petit moment de gêne ici, genre insérez un smiley qui a les joues rouges.

Bon, je l'avoue, j'ai écouter les Retrouvailles de Claire Lamarche. au 900, en reprise. sur illico.
BON, c'est fait, j'ai AVOUÉ.

Mais quelle émission weird pareil. tsé, tu trouves vraiment des histoires intenses de père/mère biologique. t'as des amis perdus depuis longtemps. t'as des demi-frères pis des demis-soeurs qui se cherche. des profs. des oncles. des amoureux perdus. etc.

Bon, l'émission dure quand même 113 minutes, donc je ne l'écoute pas intégralement, je l'avance jusqu'au bout où y'a une feuille jaune qui poke Claire Lamarche et qui annonce une retrouvaille. D'ailleurs, les gens sont tellement émus/à fleur de peau/nerveux, donc sur le fast farward, disons que les mimiques du visages sont sources de drole et de cocasseries.

Bin bâtard, à CHAQUE fois qu'il y a une retrouvaille, surtout les pères/mères bio qui retrouvent leur flos, bin calvaire, j'ai un frisson qui me passe dans le corps, pis chu émue. i-né-vi-ta-ble-fuckin'-ment.
c'est n'iiimporte quoi!

Ce que je trouve le plus weird, c'est genre quand quelqu'un cherche son demi-frère/soeur. Pourquoi?
Bin mettons que sa mère y'a dit genre: "ah oui, j'ai eu un enfant avec tel homme, t'as donc un demi-frère, lalala."
Là, la personne dit: "je veux le trouver." Pis là, le demi-frère en question entend son nom, pis s'dit... bon ok, j'vais y aller. Pis rendu sur le plateau, grosse émotion de la part de la personne qui recherchait, gros calin.

mais... mânne! tu l'as jamais vu! c'est comme, tellement pas réciproque !?!!! mais en même temps, ça doit l'être, mais ça doit être assez contradictoire comme feeling d'la part du recherché.
bon, hum... hihi.
petit débordement. lol

2 faits cocasses:

Les Retrouvailles de Claire Lamarche sont présentés par... Kleenex.
Retrouvailles est au pluriel, ça l'air que ça se met pas au singulier.

ah mon dieu, un garçon vient de retrouver son père, pis j'ai les larmes aux yeux.
...
ok, bob, va te coucher, genre, maintenant.
ok #2, j'peux pas croire que mon plus long post soit sur les retrouvailles.

C'est bon pou' toué.

parce que ça fait du bien.
parce que ça combine 2 trucs trop chouettes, c'est-à-dire Gatineau pis Mange ta ville.
parce que c'est BON.



The Christ is right de Gatineau à Mange ta ville.

Noël, j't'aime.

Cette période de l'année, la période de l'avant Noël. J'aime.

J'viens de faire mon sapin. 

Mon premier sapin à moi, avec mes boules, mes boucles, ma neige, mon étoile. Un p'tit sapin, tout discret, qui est là, immobile, lumineux, chaleureux. 

Mon premier sapin, dans mon premier chez moi. mon premier chez moi qui, avec ce p'tit sapin, m'réconforte, m'enveloppe, m'emballe, m'enchante. j'suis bien, tsé.

Il est tout encombré, j'lui ai mis tous les ornements que j'avais acheté, pensant mon sapin plus gros. Y'est tout petit, mais y'est capable d'en prendre. Y'est beau.

Ça m'a pris une heure, peut-être plus le faire.

Je l'ai fait en écoutant le disque de Noël de Marie-Michèle Desrosiers, pis y'a joué deux fois. 

J'suis en pyjama, un peu fatiguée, un sourire béat dans face. 

J'suis un cliché ambulant, mais j'm'en fou. 

J'suis un enfant.

Douleur.

ayoye, bâtard.

c'est ce qu'on appelle constater les conséquences de son manque de sommeil et de ses excès.

je m'enligne pour repartir sur un rhume de fou, je tousse comme une folle et à chaque quinte de toux, c'est comme si pleins de petits bonhommes armés de papier sablé 60 râclaient tous les millimètres carrés de ma gorge, et quand ils voient que c'est bien à vif, ils mettent une bonne rasade de sel et de jus de citron et recommencent de plus belle la fois d'après.

bon, eum... vous voyez l'image, bref.

Simplicité.

C'est quétaine comme titre.

J'le sais. Mais bâtard, c'est ça pis c'est toute. c'est simple dans le fond. suffit de s'écouter merde.

De se considérer sans éléments extérieurs. that's it. un moment donné, ça va nous rentrer dans tête.

On a tendance à se soucier de tellement de choses et d'éléments extérieurs à soi.

Mais viens un temps où il ne faut que s'écouter soi-même, sinon, on marche beaucoup dans des souliers qui  ne nous appartient pas et que l'on ne peut aucunement savoir  la trace.

Aussi bien de rester dans nos bons vieux Converse inconfortables et de trouver un moyen d'être mieux. 

Simplement. Être bien.

My power brown coat

Y fâ pas chaud ici, MAIS, grâce à mon power brown coat (lol), bin estiiie que c'est l'fun aller marcher dehors. 

J'suis aller chez Sillons disquaire sur Cartier, et j'en suis ressorti avec deux E.P. fort cool, dont Polipe que j'm'en vais voir demain. vraiment chouetteuh.

Trop cool ce disquaire là, y'a vraiment pleins de bands émergents pis on y fait de bien belles découvertes.

joie! joie! joie! belle journée!

Soleil en quartier.

Une semaine de repos après une semaine folle. écouter des films que ça fait longtemps que je voulais voir. relire un livre qui m'a fait tellement tripper. prendre le temps de juste rien faire, en avoir le temps surtout. pouvoir aller se promener dans le Vieux même s'il fait frette, emmitouflée dans un nouveau manteau capable de supporter le frette. aller fouiner chez les petits disquaires qui s'trouvent à côté de chez nous que j'ai découvert récemment. avoir le pouvoir de décision sur l'heure que je me couche. se dire que dans un mois et quelques poussières, j'ai un mois de vacances. avoir des projets d'toiles pleins la tête, et y croire. avoir une caisse de clémentines pleines dans cuisine. les manger, et les trouver câlissement bonne.

faut croire que cette semaine, ça va bien.

Orange Orange

quelqu'un, ça vous tente?

www.myspace.com/orangeorangeduo

www.myspace.com/polipe

Salusoleil

Viens voir comme on est bien

quand on pense pu à rien d'autre que vivre.

Les pieds endimanchés

des folies de l'été qui nous enivre.

-Plume Latraverse.

J'musique.

Ouais, le terminus, ça a ça de bon.

J'ai l'temps en masse de m'perdre dans la masse myspacienne.

pis j'trouve des bins bonnes affaires.

J'vous fais la liste de ce que j'ai écouté aujourd'hui, j'connais pas encore les trucs bin gros, mais ça m'a accroché. J'développerai plus quand j'en aurai écouté davantage.

Hotsprings   (www.myspace.com/thehotsprings)

Giselle numba one (www.myspace.com/gisellenumbaone)

Polipe (www.myspace.com/polipe)

Orange Orange (www.myspace.com/orangeorangeduo)

Krista L.L. Muir (www.myspace.com/kristallmuir)

Milie Croche (www.myspace.com/miliecroche)

Torngat (www.myspace.com/torngat)

Jérémi Mourand (www.myspace.com/jeremimourand)

Mister Vallaire (www.myspace.com/misteurvalaire)

Le mieux de la mort (www.myspace.com/lemieuxdelamort)

Tunng (www.myspace.com/thisistunng)

Soyez curieux un peu, allez!

Mention spécial, oubli...

Petit oubli su'l show d'hier.

Radio Radio jouait en premier, pis c'était vraiment, mais vraiment excellent.

J'avais écouter quelques tounes d'eux avant d'y aller, savoir à quoi m'attendre, mais j'étais pas certaine.

Évidemment, voir du live peut définitivement changer votre vision des choses.

Ils m'ont fait dansé, m'ont rendu de bonne humeur, étaient vraiment cool.

ça m'a mis dedans en sale, parce que avant le show, j'avais un peu mal au coeur, j'feelais pas, pis ça m'faisait chier de pas être dans une top forme pour un show que j'attendais depuis un ptit moment.

pis finalement, ils m'ont vraiment embarqués. alors reück pour Radio Radio.

Gatineau, Club Soda, 8 novembre 2008, j't'ais là.

Ouain ouain ouain. J'pourrai dire que j'y étais. Qu'on y était. Qu'on était une crisse de gang à être là pis à avoir foncer à 120 km/h dans le show. Les deux shows précédents que j'ai vu de ce band qui est, officiellement, mon préféré, bin le public était... là, mais c'est rien de comparable à hier.

C'était fou bin raide. Les gars su'l stage nourrissait le public, qui lui les nourrissaient tout autant.

C'était un réel échange pis mon dieu que c'était agréable.

J'ai rarement eu chaud de même, j'ai bouncé, j'ai sauter partout, j'ai pitché ma main din's airs comme si j'm'en câlissais.

pleins de moments forts (en fait, tous, quasiment) mais quelques uns plus marquants que d'autres:

- Le public qui danse comme des débiles sur Les contes immoraux.

- La chorale gospel pour The Christ is right, mais surtout pour Chanteur masqué (LLLLLLLLLL)

- La projection d'un montage du film Elephant pendant la toune du même nom, avec des "POW" de drums vraiment intense

- Giselle Numba One (www.myspace.com/gisellenumbaone) pendant Dégage, ça c'était hot. C'tait beau d'voir les gars si contents qu'elle soit là.

- La passe des 2 drums au début du Freak de Montréal, et finalement

- La finale avec Le Freak de Montréal, wôw.

vraiment, c'était purement câlissement bon. j'ai pas d'autre mots.

Gatineaaaaau.

je suis complètement vannée, j'vais m'écrouler de fatigue.

j'reviendrai faire un vrai come back demain, mais...

AAAAAAAAAAAAAH! QUEL SHOW MES AMIS, J'N'EN REVIENS PAS ENCORE.

Enfin.

bon, j'écris sur le tard.

ça fait quand même plusieurs heures que mon calvaire est fini.

enfin. putain d'semaine de marde. trop peu de sommeil, trop d'travail, trop d'énergie sur... quoi?!

mais bon, c'est fait...

belle soirée mes amis, quel bonheur de chiller avec vous, dans notre interlude ô combien apprécié.

j'vous aimes batard.

belle fin de semaine en perspective, belle semaine aussi !? why not.

Le dernier chapitre.

it's a go mes amis!

déling! des lignes!

set list d'la journée:

ça l'air de rien, mais y'a crissement beaucoup de choses.

allez! hop! c'est parti!

Mon cocon

Texte écrit pour mon cours de dessin, fallait illustrer un dessin d'une pièce où l'on vis et qui nous représente.
(dessin à venir quand elle me l'aura remis)

Étant partie de chez moi, seule, pour affronter la capitale et l’université, je partage un petit deux et demi avec moi-même, près du Vieux-Québec. Les quatre murs dans lesquels je vis réunissent ma chambre, mon salon, ma cuisine, mon cocon. Le choix de la pièce à illustrer fut donc un choix assez facile, car il n’y en a qu’une. Le coin illustré est le coin où je passe le plus clair de mon temps. La fenêtre en coin me permet de m’y asseoir et de laisser mon regard s'enfuir sur la basse-ville ou les monts au loin. Mon coin télé, où mes étagères sont remplies de disques et de livres qui peuplent mon imaginaire. C’était impensable d’illustrer un lieu qui doit me représenter sans montrer une touche de musique, car la musique est ce qui me fait vivre. Ça m’inspire tellement, chaque moment de ma vie à une trame sonore sur cette tablette. C’est thérapeutique, et ça me permet de continuer, ça me pousse à aller un peu plus loin, à ne pas abandonner.

Je suis un oiseau de nuit. L’inspiration et la motivation arrive une fois la petite aiguille du cadran passée minuit. J’ai beau essayé, avant cette heure fatidique, rien ne vient. Dans le jour, pendant la soirée, le stress, les préoccupations, toute la tempête qui se trouve entre mes deux oreilles m’envahit. La nuit, au contraire, je deviens d’un calme, d’une plénitude quasi-totale. C’est un peu ce trait de moi-même que j’ai tenté de transmettre dans mon dessin. La lampe en plein milieu de mon plancher, assise part terre, regardant la télé ou écoutant de la musique. Et un fidèle bol de café noir, car ce mode de vie est lourde en conséquence côté sommeil.

Chap. 2.1

My god, je m'impressionne. J'ai réussis à pondre de quoi de bon genre.
Espérance que j'suis pas totalement dans le champs.
Heille, mânne, j'viens de réaliser qu'après cette semaine, j'aurai le 2/3 de ma session de fait.
Y va me rester juste 5 semaines.
OMG, j'suis tentée de m'en réjouir.

Semaine de fou, chapitre 2.

4h37, pis je continue mon travail à remettre à 8h30!
Yé. C'est dans ces moments-là qu'on s'trouve câlissement wack de pas avoir fait ses travaux avant, mais vraiiiiment.
au moins, je me suis couchée de 21h00 à 1h00.
mais quand même... eeeuk.

5h43...

... pis c'est là que j'm'en vais me coucher.
j'me lève à quelle heure déjà?
*tousse* 7h00 *tousse*

Caféééééééé.

MON DIEU, je suis SPEEEEEEDÉE.
troooooop de cafééééééééééééééé.
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah.
CAFÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÏÏÏÏÏÏNE.
Wou-ah.
blblblblblblluuuuuuuh.
bon, suffit, y m'reste des trucs à faîîîîîîre.
bliuiuiyiuij.
ark->->->->-->--->-->--->-->--->---->↓

Back in the capitaLLL.

Et oui, me revelà.
Après an amazing semaine à Montréal, mes 4 murs me retrouvent. Ou je retrouve mes 4 murs.
Que je verrai énormément cette semaine. disons que j'ai pris... un petit peu (quel euphémisme) de retard dans mes travaux.
alors mes trois meilleurs amis cette semaine?
musique + café + nuit.
Wouhou, c'est la fête, mais j'paie l'prix d'être tomber en amour avec Montréal.

Montréal reück.

Montréal, je t'aime.
beaucoup.
trop.
♡

Persepolis

Courrez voir ce film, vite !

Voici quelques extraits:



On plonge dans la réalité iranienne. Ne vous laissez pas bloquer par ce sujet qui peut paraître lourd à première vue. c'est d'une beauté ce film, c'est incroyable. Fait avec humour, intelligence, on suit une jeune femme évoluant dans cette période de changement, tant pour elle que pour son pays. L'esthétique du film est parfait, et... j'ai rien d'autre à dire. C'est juste trop bon. Genre de film que j'écouterais en boucle.

Chaque jour - Mes Aïeux

J'aime cette chanson, j'vous la partage:

Chaque jour, j'attends que tu reviennes,

 chaque jour, mais tu ne reviens pas.

Chaque jour, je me rejoue la scène,

mais chaque jour les mots ne viennent pas.

Chaque jour, je remonte dans l'arène

chaque jour, mais je ne fais pas le poids.

Chaque jour que le bon dieu amène,

à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Chaque jour, à chaque jour suffit sa peine,

Chaque jour, mais la mienne ne s'en va pas.

Chaque jour, la triste loi de la moyenne.

Chaque jour me dénivelle vers le bas.

Chaque jour, juste une chose de certaine:

chaque jour j'avance vers le trépas.

Chaque jour que le bon dieu amène,

à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Chaque jour, les nouvelles sont les mêmes.

Chaque jour, les hommes n'apprennent pas.

Chaque jour, la paix semble lointaine.

Chaque jour, tombent tombent les soldats.

Chaque jour, la déchéance américaine.

Chaque jour sourit pour la caméra.

Chaque jour que le bon dieu amène,

à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Lundi, mardi, quelle différence?

Mercredi, jeudi, rien n'a de sens.

Vendredi, samedi, vivement dimanche.

Et dimanche... pas de repos, pas de chance:

le lendemain, ça recommence.

Et si un jour il fallait que tu reviennes,

je jure que ce jour, tu n'me reconnaîtrais pas.

Je jure que ce jour, j'aurai une énergie soudaine.

Je jure que ce jour, je ne baisserai plus les bras.

Et si un jour, tu rallumais mes semaines,

je jure que ce jour je réécrirai l'agenda.

Et chaque jour, chaque jour,

chaque jour en vaudrait la peine.

Chaque jour, c'est l'amour que je chanterai ici bas.

Chaque jour, ça ira mieux demain.

Chaque jour, jamais demain ne vient.

Chaque jour, ça ira mieux demain,

mais chaque jour, remettre au lendemain.

Chaque jour, ça ira mieux demain.

Chaque jour, demain sera toujours demain.

Et puis un jour, ça voudra dire qu'il faudra bien,

un d'ces jours, prendre son vide en main.

Chaque jour, j'attends que tu reviennes.

- Chaque jour

Mes Aïeux

Lars and the real girl.

Synopsis:

Lars, un employé de bureau de 27 ans, s'efforce de passer inaperçu au travail et, le reste de son temps, se terre dans son petit appartement adjacent à la maison de son frère et de sa belle-soeur. Inquiets de le voir toujours isolé, ces derniers sont estomaqués lorsqu'il leur présente Bianca, sa nouvelle petite amie. Car cette dernière est en fait une poupée en silicone grandeur nature que Lars, qui se comporte avec elle comme si c'était une vraie femme, a commandée sur Internet. Les proches de Lars songent alors à le faire interner, mais leur médecin de famille leur recommande plutôt de prétendre eux aussi que la poupée est vivante. Du moins jusqu'à ce que le jeune homme mette fin à cette affabulation.



Ok, ça l'air un peu freak comme situation, ça l'air à la limite du con comme film. mais... ce n'est aucunement le cas. ô mon dieu. ce film là est tellement beau. c'est incroyablement touchant. les acteurs sont vrais, ryan gosling est vraiment impressionnant, tellement émouvant. celui qui fait son frère aussi, en fait, toute la distribution est à sa place. le rendu est beau, c'est enveloppant. ça tombe jamais dans le grotesque de la situation, c'est vraiment un baume pour l'esprit, c'est tout en douceur. wow.

fiée-go-fri-ri

oh, on me signale à l'instant que je me les gèle...
ah, oui, oui, j'ai confirmation.
ON S'LES GÈLE.

St-John Gate

Assis sur du roc, j'suis sensée être solide, mais le vide derrière mon dos m'refait perdre l'équilibre.
Le cul posé sur ce mur de défense, j'ai la tête en barricade.
Mais le jour me rapelle que ça va mieux que je pense.

Théâtre

ouf! finalement, j'suis allée hier aux auditions. qui n'étaient pas encore des auditions (yé!)
les gens nous présentaient les 5 pièces qui allaient être montée pour l'hiver, et on devait appliquer pour celles que l'on voulait.
on peut participer à une seule, mais auditionner pour le nombre qu'on veut!
DONC, audition vendredi 14h, et dimanche 20h40!
j'suis vraiment contente d'y être allée. j'étais fière de m'être bouger l'derrière pour avancer, pour bouger.
quand j'suis sorti de là, j'étais bien.

là.

belle et grosse journée en perspective!
d'abord, le cd d'tryo est sorti, alors je m'en vais presto me l'acheter, et ensuite me le passer en boucle dins oreilles.
ensuuuuuuîte, gros travail à remettre demain, plus un cours jusqu'à 6h30.
mais, le plus important.... c'est que y'a des auditions de théâtre ce soir pour être dans la troupe de théâtre de l'université, Les Treize!
C'qui me bogue un peu plus, c'est que c'est à 19h, donc je vais peut-être être short, mais je vais tenter la chose quand même.
Le problème est aussi que si genre les pratiques sont le vendredi soir, mon chat est mort, mais bon.
advienne que pourra viarge!

In Bruges

J'viens d'écouter c'film. c'est vraiment bon. ça va dans pleins d'émotions différentes, c'est drôle aussi.
le jeu des acteurs est excellent. pis Bruges, merde. c'est beau.

Aaaaarggh.

shit de maaaaââârde.

encore migraine de fou. fatiguée. y mouille. cours plaââte.

eum... trouvons quelque chose de bien?

ah oui, j'me permets tellement un congé c't'aprem.

c'est positif ça? ouain.

LOLLE.

hahaha, j'suis frisée comme in mouton à matin, c'est beaucoup trop comique.

y mouille en taboire là genre. j'ai pas envie d'aller mon cours, mais, une fois n'est pas coutume, alors j'me mes bottes d'eau pis j'affronte le délûûûûûge.

blaaaah.

*baille*

j'suis fatiguée, y'est rendue taâârd mânne.

mais, j'suis dans une fatigue agréable, totalement détendue, zèèèèènne.

juste un p'tit vidéo, parce que c'est vraiment excellent:

Orange orange 

leur myspace:

www.myspace.com/orangeorangeduo

le son d'la vidéo est so so, mais allez voir leur myspace, les 2 tounes qui s'y trouvent sont vraiment bonnes. ça sonne en crisse, pis ils sont beaux.

show au divan orange le 13 novembre.

quelqu'un est intéressé?

...

et le soir revient... môdit.

Loup Blanc - Mes Aïeux

"j'ai marché bien trop loin 

me suis perdue en chemin

les esprits des anciens 

aidez-moi à retrouver mon instinct... mon chemin

[...]

dans les lignes de ma main

les anciens tracent mon chemin

avisez tous les miens

j'ai retrouvé mon instinct et demain... je reviens"

Mes Aïeux - Loup Blanc.

ces paroles me rejoignent un peu trop, c'est vraiment beau.

La vi(ll)e est belle.

aaah!

j'me suis gâtée. sur un temps. hihi.

après avoir avancé mes travaux, et voyant l'astre me faire des clins d'oeil (estie que je parle tout le temps du soleil, mais qu'est-ce que vous voulez, c'est mon anti-dépresseur), je suis allée me promener dans le vieux.

j'ai bouquiné dans deux charmantes librairies usagées, dont une que je risque d'allée souvent, car la madame est trop sympathique, y'a du stock en masse pis c'est pas cher.

je me suis achetée pleeeins de livres, pour la modique somme de 12.00$.

Michel Tremblay, Racine, Beaudelaire, Dubé, Garneau, etc. parsèmeront ma bibliothèque et ma tête.

j'suis allée m'asseoir en haut d'la porte st-jean, pis j'ai écrit.

pis ça fait du bien. j'écris même si c'est poche. parce que... ça fait du bien.

mais là j'ai oublié de manger aujourd'hui, pis mon ventre hurle.

alors j'y vais tout suite, genre.

Yé!

yeah! premier examen de fait, pis ça s'est pas pire bien passé.

encore une superbe journée dehors, j'serais bien allée marcher près du fleuve, maiiiis, la vie étant c'qu'elle est, j'ai 2 travaux à faire + mon ménage (qui est vraiment très du) + préparer mon stock pour demaing.

maaaaais me connaissant... j'vais aller m'promener un peu. le soleil est vraiment, ces-temps ci, source de bonne humeur pour moi. 

le soir, j'feel plus down, alors j'vais aller me faire le plein de rayons pour être plus d'attaque pour le reste d'la journée.

J'peux ti mourir?

aaaaaaawr, j'ai tellement mal à tête, j'm'arracherais les yeux drêt là.

ça fait juste 2 jours que ça dure...

un break si-you-plait?

Mes Aïeux - La ligne orange

de 1, l'album, la pochette, le physique est crissement beau. à l'ère du numérique, on est content quand on s'achète un compact qui est recherché graphiquement. on est pas déçu d'être aller prendre notre petite balade pour aller se l'acheter.

de 2, l'album, la musique, le contenu, c'est bon. je suis encore à la première écoute, j'accroche moins sur quelques chansons, mais des titres comme Belle, embarquez et La Dévire, wôw. à frissonner. Surtout Belle, embarquez. Je l'avais entendu en show, pis j'avais la larme à l'oeil.

La chanson Antonio, qui parle du Grand Antonio Barichievich, est vraiment sympathique, et Le stade (conte complet) complètement disjoncté et cocasse.

c'est un album de Mes Aïeux, comme on les aimes: d'la légende, de l'engagé, du portrait, d'l'amour, pis du drôle.

sympa, sympa, sympa.

Soleil automnal

aaaah. finalement, j'suis quasiment contente de pas être allée à mon cours. en fait, non. 

je SUIS contente de ne pas y être allée. ma culpabilité me donne des binnes sur l'épaule, mais j'essaie de l'ignorer.

petite balade pour aller m'acheter le cd de mes aïeux, avec la musique de gatineau qui me clache dins oreilles. estie que c'est bon. j'ai d'ailleurs enfin acheté leur cd pis j'suis heureuse.

le soleil brille en crisse, y'a un vent frais trop agréable.

la ville est belle. j'ai découvert une église tantôt. une bonne église là, mais vraiment cachée.

et quelle était la toune dans mes oreilles ? et oui... 

donne au lord, aweille c't'un ordre

sinon jésus va s'fâcher pis va t'mordre.

quel beau commencement de journée! 

Rhaa la la...

le réveil sonne, à 7h00 comme prévu. baaah, j'peux bien m'rendormir un peu, anyway, j'le ferai pas mon travail pour c'matin.

me rendors, me relève: 8h10. marde, faut j'me grouille, mon cours est à 8h30. j'ouvre mon ordi et c'est encore pire: mon réveil fuck, il est en fait 8h48.

môôôôôdit estie. bon... qu'est-ce que je fais. j'ai déjà manqué ce cours là une fois. mais je pourrai toujours aller voir le résumé du cours au centre de docu. pis y'a une fille dans mon cours du jeudi qui est dans mon cours de dessin aussi.

j'pourrai y demander ce qu'on a à donner pour le prochain cours. c'est juste d'la théorie, l'prof lit ses notes.

aaaawwwr.... dilemme, dilemme. en plus, j'ai un examen demain, pis j'ai pas fini mon livre, avec le cd de mes aieux qui sort aujourd'hui.

ça me donnerait du temps de plus pas aller à c'cours.

finalement, y'est 9h14, pis j'ai décidé que j'y allais pas. j'me sens pareil comme d'la marde.

j'peux pas croire, estie, que j'suis autant larve que ça.

le pire c'est que je me suis couchée tôt hier. pis j'suis encore fatiguée.

rhaaaa la la...

Et oui, j'plonge.

depuis... j'sais pas. deux semaines genre.

ouain, depuis environ deux semaines, j'ai soif d'écrire. que ce soit pertinent ou pas, j'm'en crisse.

j'ai juste besoin de sortir tout ce qui se brasse dans ma cage. pas que j'sois déprimée ou quoi que ce soit. non, pentoute.

c'est juste qu'étant plutôt seule pendant la semaine, et n'ayant personne avec qui parler comme ça, spontanément, et que j'en ai besoin, je plonge enfin dans ce mystérieux monde du blog.

la fin de semaine, quand je retourne chez nous, la gueule m'arrête pas tellement j'parle pas pendant la semaine. j'vais donc donner un break à mes amis, ou juste me faire du bien, simplement.

alors voilà, points d'récupération commence.

Ça marche?

Test, 1-2, 1-2.