mardi 28 avril 2009

YÉ!

Merci Bibliothèque Nationale du Québec d'avoir une très grande variété de bandes dessinées à emprunter, et ce, pour la moindre sommes de 0$.

Mon compte de banque vous en remercie grandement.

(By the way, merci Roxanne et Oli d'être auusi de bons fournisseurs.)

samedi 25 avril 2009

Le hic.

C'qui est triste avec la BD, c'est que ça se lit assez vite. Faque tu veux comme pas le lire toute d'une shot pour pas que ça se termine trop rapidement.
Pis là, quand c'est fini, t'en veux d'autres. Pis c'est chiant chercher d'la BD à la bibli parce que le classement est de merde pis t'en trouve juste pas à ton goût.
Pis là, tu te dis qui va falloir que t'investisse pour en acheter d'autres, et faire le tour des librairies used pour pas que chaque BD te coûtent 25.00$ et te ruinent.
Mais, mais, mais...

C'EST L'FUN !

mardi 21 avril 2009

D'la bédé, d'la bédé, d'la bédé.

J'veux lire d'la bédé! D'la vraie, dans mes mains.
J'ai pu de blogs à lire. J'me suis donc acheté 4 livres vendredi dernier.
Pour les avoir lue et relue sur les internets, je voulais en avoir dans mes mains. J'm'en suis donc acheté une de Iris (Justine) et deux de Zviane (Le point B et Le quart de millimètre) et un fanzine que les 2 ont faits, Stie qu'on est bin, racontant leur péripéties en France.
J'suis rentrée chez Fichtre! , sur deBienville pour la première fois, pis j'ai cru virer folle. Je VEUX de la BD dans mes yeux. Tout le temps.

J'ai d'ailleurs dévoré les 2 que Rox m'avait prêté. Ça s'appelle Maus, de Art Spiegelman.
J'vous shoot le synopsis de Wiki, jsuis vedge:

"Maus raconte, à travers le dialogue de l'auteur et de son père, l'histoire de celui-ci juif polonais, survivant des ghettos polonais et d'Auschwitz. On y découvre les persécutions nazies, depuis le début de la Seconde Guerre mondiale et l'invasion de la Pologne jusqu'à l'effondrement du Troisième Reich et l'immédiat après-guerre. Témoignage sur la Shoah, cette œuvre aborde la question de la survie à tout prix quand la loi est celle du plus fort, de l'antisémitisme juste après la Seconde Guerre mondiale. Le récit du père est entrecoupé de scènes montrant des relations difficiles entre un père et son fils, la difficulté pour l'auteur lui-même, juif de la génération « d’après » d’exorciser ce terrible passé, de se construire à l'ombre d'un survivant. Sans chercher à enjoliver, Spiegelman décrit son père comme un avare grincheux, caricature des stéréotypes racistes sur les Juifs. Il montre aussi son exaspération face aux obsessions et aux préjugés du vieil homme, préjugés aussi bien sexistes que racistes."

C'est bon, beau, sensible. J'ai beaucoup aimé.


J'en veux d'autres! J'en veux d'autres!

(site de Iris: http://monsieurleblog.canalblog.com/
site de Zviane; http://www.zviane.com/prout/ )

Rien.

Souvent, des petits rien rendent de bonne humeur.
Souvent, c'est bin plus que des petits riens, mais on veut pas leur accorder trop d'importance, de peur de trop y penser, pis d'estomper l'effet.
On s'contente de les regarder du coin de l'oeil, d'les ignorer, de leur jeter des p'tits regards de temps en temps.
Ce sont ces petits riens qui aident à se relever d'une p'tite débarque.
Toute petite débarque, mais qui fait chier pareil.

Une chance qu'il y a des petits riens.
Y sont petits, mais c'pas rien.

mardi 14 avril 2009

Nooooooooon....

OSTIE.
J'ai perdu mon "points d'récupération" écrit, mon petit livre dans lequel j'ai tout écrit mon automne.
J'suis vraiment triste.

dimanche 12 avril 2009

Ça, j'm'habituerai jamais...

Une cliente vient de m'engueuler parce que le chauffeur avait pas attendu le transfert de Montréal, faque y'a du monde qui attendent comme des pains à Repentigny.

OUI, c'est chiant.
OUI, c'est Pâques pis ils vont être en retard.
OUI, madame, je comprends tout ça...

...mais CÂLISSE, tu peux m'en parler calmement, pas en me chiant dessus comme si c'était MA faute, bâtard.

Non seulement ça n'arrange absolument pas la situation, mais en plus, tu viens de scrapper ma bonne humeur, tu m'as rendu triste pis j'ai l'goût d'pleurer tellement c'était aggressif.

Alors à toi, vieille crisse, va chier.

mardi 7 avril 2009

Loup Blanc - Mes Aïeux, prise 2

J'viens totalement de me replonger dans cette toune-là, intensément dans mes souvenirs de cette automne.
Comment je pouvais me sentir, les places où j'allais, réconfortantes.
C'est fou, j'me suis fermé les yeux pis j'ai révécu ça. Une bribe de ça.

Bref, j'avais oublié la chanson. J'l'avais pas écouté depuis... un méchant bout.
Bref, elle est belle.

"J'ai suivi la piste du loup blanc
J'ai marché pendant combien de temps
J'ai vu l'arbre défolié au printemps
Le grand chêne de nos jeux d'enfants

J'ai senti virer de bord le vent 
La saison passer du rouge au blanc
J'ai vu un soleil aveuglant
Le beau temps devenir ouragan

J'ai voulu retrouver ma tanière
Sans boussole et sans étoile Polaire
Oublié ce que m'avait appris mon père
Effacés tous mes points de repère

J'ai marché bien trop loin
Me suis perdu en chemin 
Les esprits des anciens
Aidez-moi à retrouver mon instinct' mon chemin

J'ai perdu la piste du loup blanc
J'ai erré sans trouver l'orient
J'ai voulu faire s'arrêter le temps
Invoquant le bon Dieu et Satan

Personne pour entendre ma prière
Personne au paradis ni en enfer
Ignorés tous les conseils de ma mère
Emportés par le courant de la rivière

J'ai marché bien trop loin
Me suis perdu en chemin
Les esprits des anciens
Aidez-moi à retrouver mon instinct' mon chemin

Le grand aigle qui planait dans le ciel
S'est posé pour me faire monter sur son aile
À sa suite dans le vent je me suis vu
Au cortège des espèces disparues

Il m'a dit : pour toi, il est grand temps
De rejoindre la meute des vivants
Entends-tu le cri qui vient d'en dedans
De ton ventre, le hurlement du loup blanc
 
Dans les lignes de ma main
Les anciens tracent le chemin
Avisez tous les miens
J'ai retrouvé mon instinct et demain' je reviens."

samedi 4 avril 2009

Mon coeur saigne.

18 avril = dilemme qui tue.

Karkwa à l'Azile ou Gatineau au Divan Orange.
Aaaaah.
C'est comme... POUR-QUE-WAH...

Qu'est-ce j'fais?
En plus, Gatineau, c'est l'dernier show avant un bout...

vendredi 3 avril 2009

Iiiih...

Loll'z.
Je viens de voir que j'avais écris que 3 messages en mars. My god.
J'avions pas grand chose à dire!

M'a me reprendre, messemble que j'ai l'goût d'écrire.

ENFIN!!

Et oui! On a ENFIN signé un bail !
Après toutes les tuiles qui nous a tombées sur la tête ces-temps-ci par rapport à cette maudite recherche de logements, on en a trouvé é-coeu-rant!

Dans la Petite-Italie, à 5 minutes à pied du marché Jean-Talon, 10 minutes à pieds des métro Jean-Talon, Castelneau et Beaubien.
L'appart est beau, coquet, ensoleillé. Le coin est trop chouette. JE CAPOTE!

Môôôôdit que je suis contente ! Une affaire de réglée, oh yeah !