Swigne la bacaisse!

J'écoutais du Mes Aïeux hier, en regardant la rivière, au soleil, avant d'aller travailler.
Pis ça faisait longtemps que j'avais pas écouté les premiers albums.
Alors toutes les tounes passaient random une après l'autre, des cinq albums.
Faque j'en skippais de temps en temps. Pis la Swigne la bacaisse part.
En temps normal, j'l'aurais passée elle aussi. J'sais pas, elle me gosse un peu. Mais je l'ai laissé jouer.
Pis j'ai réécouté les paroles attentivement, surtout de la dernière partie (parce que le début me gosse encore.)
Pis maudit que les paroles sont cools. Juste... trop joyeuse, ça inspire un bin bon moment.
Alors, les v'là!

"On oublie les discothèques et pis les cruising bars...
On va se louer toute la gang un petit shack dans le nord.
Un violon, deux guitares, pis des bouteilles de fort en masse!
On va fêter le fait qu`on est pas encore mort. On est-y mort? Non, on est pas mort.
On va se conter des histoires de démons pis d'esprits,
On va bourrer nos pipes d`herbe du pays.
Ô canabis, herbe de nos aïeux!
le monde est bien plus beau assis autour d`un feu!!"

Orange Orange - Je danse dans ma tête

Je Danse Dans Ma Tete Video by ORANGE ORANGE - sors-moi EP en vente - MySpace Video

Je sais pas si je l'ai déjà  publié sur mon blog, mais juste au cas où que non, levez le son pis faites vous aller le bassin !
C'EST TROP BON !
http://www.myspace.com/orangeorangeduo

Chinatown - Apprendre à danser

J'aime cette chanson! Aime-je le groupe? J'pourrais pas dire à quel point encore, faute de connaître assez de tounes.
J'ai entendu celles sur leur myspace, et j'aime beaucoup!
Leur test ultime sera lors de leur show aux Francofolies, le jeudi 6 août 2009 à 23 h , à la Zone Molson Dry!
It's a rendez-vous !

Fleeeeeeuve.

J'veux être à la même place que sur la photo. MAINTENANT.
Ouiiiiin. J'veux être sur le bord du fleuve. J'veux être assis devant le fleuve.
C'est tellemeeeent la plus belle place au monde.
La plus apaisante. La plus zen.
La seule place où je me sens totalement bien.
Absolument -SANS- bébittes dans têtes.
Absolument -SANS- tristesse, -SANS- problèmes, -SANS- tourments.
Câlisse que j'aime c'te place là.
J'y retourne c't'été. Ne serait-ce que 1 journée. ou 2.

Nouveau blog

OH YEAH.
Roxanne et moi sommes entrain de monter un nouveau blog.
Pour qu'on se pratique à dessiner. Pour se forcer à dessiner. Pour acquérir de nouvelles techniques avec la tablette graphique pis pour varier le style de nos dessins.
Pis parce que si on se pousse pas dans l'cul pour dessiner plus, si on s'donne pas une motivation supérieure, bin on l'fait pas.
Pis on doit l'faire.
Faque checkez ça, bientôt, bientôt.

Peins.

J'ai repogné un beat de création intense.
J'ai envie de peindre. J'ai quasiment fini une toile que ça devait faire des mois que j'aurais du finir.
Une fois dessus, je peux pu la lâcher.
J'ai 4-5 autres toiles en attentes d'être faites, pis j'sens que cette fois-ci, j'vais être capable de les faire à un bon rythme.
J'ai repogné l'goût d'peindre pis d'créer! YÉ!

Café.

D'habitude, le samedi matin, au terminus, à cette heure, j'ai déjà enfilé 1 ou 2 cafés.
Aujourd'hui, j'en ai pas encore bu.
Constatation?
J'ai BESOIN de café le samedi matin au terminus.
Sinon, j'ai l'air bête pis tout le monde me tape sur les nerfs.
Je vais donc aller m'en chercher un de ce pas, avant de tuer quelqu'un, même par téléphone.

BD de cuL.

Allez le lire.
J'aime comment il raconte, j'aime ses dessins, il m'amuse et me rend de bonne humeur.
Bref, je l'aime.
Donc cliquez ici, et enjoy!

Retard.

Damned. J'aime pas ça quand les bus sont en retard. Même si tous les clients qui le prennent sont avisés, et qu'ils n'ont pas fait (trop) de cas.
Ça me stresse. C'est que c'est nous ici qui mangeons la marde advenant qu'un client est en crisse.
Pis estie que c'est jamais l'fun. Tsé comme là, y'a personne qui m'a donné d'la marde. Personne. Y'a un dude qui vient d'appeler pour savoir "ce qui se passait avec la 45", mais il était bien correct, bien aimable, et y'en avait pas d'problèmes.
Sauf que ça m'amène toujours à anticiper un pétage de coche.
Ces temps ci, c'est les vacances, alors y'a pleins de remplacements donc pleins d'adaptation à faire pour ceux qui remplace. Et y'a d'la construction. Donc disons que ces temps ci, c'pas la joie dans l'monde de l'autobous.
Y'a des retards, des détours (donc le bus passe pas à tous ses arrêts dans ville), etc.
Faque ça peut amener son lot de clients mécontents.
Mais pas toujours. Mais on sait jamais. Faque on anticipe. Faque on stresse. Faque c'est chiant.
Tsé, j'ESSAIE VRAIMENT de m'en crisser, de pas trop m'en faire. Mais j'suis pas encore totalement capable. J'suis moins pire qu'avant, mais quand un bus part avec 40 minutes de retard, pis que je SAIS qu'il y a une madame qui l'attend dans ville pour aller travailler à 9h à l'Assomption, je SAIS qu'elle va retontir ici, pis qu'elle sera pas nécessairement contente, bin ça me stresse de pas voir l'ostie de bus arriver dans cours. D'autant plus que ça fait 2 semaines de suite.
Aaaarg. Ma job a beau être vedge que le câlisse, reste que y'a des moments qui font en sorte que je me dis que j'mérite mon salaire.

Programmation extérieure des Francos!

Oh yeah, la programmation extérieure des Francos est sortie!
Intéressant, intéressant!

Mes Aieux, Orange Orange, le Rap Party des Francos (Séba, Ghislain poirier, Radio Radio, Loco Locass... ouh lala), Les Colocs, Dubmatique, Les Batteux Slaques...

Voici ma liste:
Clique ici.
Et la programmation:
Clique ici

J'aime les Francos, oui, oui, oui !!

E.T.

- J'suis allée au cinéma hier.
- Ah ouais, avec qui?
- Toute seule.
- TOUTE SEULE !!!??!!? Ayoooye.
- ...
- ..!
- Pis savoir ce que j'suis allée voir, ça t'intéresse pas ?

Monologue.

En secondaire 5, on devait faire un adieu en théâtre. je viens de retrouver ce qu'émilie et moi avions fait, et j'ai retrouvé le texte du monologue que j'avais joué. J'suis contente parce que je l'ai vraiment cherché longtemps, pis là, je l'ai.
Ça se trouve à être l'animation d'un gala ou d'un spectacle animé par Isabelle Blais et qui avait joué à TVA en hiver 2005. J'sais pu trop c'était quoi, mais c'est ça, c'est le texte des numéros d'animations. C'tait tellement beau cette animation là, hyper poétique, théâtrale.
Le voilà donc:

"Écoute !
J'ai écouté le monde, j'ai écouté les grands, écouté les petits, j'ai écouté les enfants, écouté le vieillard,
et toujours même est le message: ÉCOUTE!
J'ai écouté le jour, entendu le soir, admiré la nuit, souris à l'aube, j'ai écouté le temps,
et toujours même est le message: écoute!
J'ai entendu le sourire de l'enfant, le rire de l'adolescent, le cri de l'innocent, le murmure de la mère, le silence du vieillard, et toujours même est le message: écoute:
Le monde entier te regarde.

Si votre quotidien vous parait pauvre, ne l'accusez pas.
Accusez-vous vous-même de ne pas être assez fous pour appeler à vous ces richesses.

Pour aller plus loin, ne jamais demander son chemin à qui ne sait pas s'égarer.
Une saveur, aussi lointaine qu'elle soit, a toujours une histoire à compter.

Je prendrai dans ma main gauche une poignée de mer, et dans ma main droite une poignée de terre.
Puis, je joindrai mes mains comme une prière et je lancerai dans le ciel une planète nouvelle,
où nous serions toujours ensemble, été comme hiver.
J'y rêve d'habiter.

Mais... si nos nuits ne rêvent pas, est-ce que nos jours ont manqué d'inspiration?

Quelque soit le continent, la couleur du temps, le regard que tu portes sur le chemin à parcourir,
souviens-toi que ce qui rythme les artères de toute notre vie ne sera rien d'autre que le battement de nos coeurs.

Écoute! Le monde change de peau.
Les salles de spectacles sont les Églises quand les mythologies s'effondrent.
C'est dans le théâtre que trouve refuge le divin!
Largons les continents! Hissez les horizons!
Ici, on part.

Ensemble, nous avons égaré des bouts de nuits, dispersés quelques après-midi et même noyé quelques-uns de nos matins.
Il y a combien d'amour dans votre amour?
Combien de nuits dans votre vie?
Combien dans vos corps?
Combien d'îles résident dans l'archipel atlantique de votre âme?
Combien de bougies dans vos yeux?
Et la passion, le feu, où l'avez vous mis ?!

Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches.
Les coeurs les plus purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir, car le monde est une triste boutique.
Il faut reboiser l'âme humaine.
Je crois de toutes mes forces qu'il faut aimer à tort et à travers.

Quand nous vivrons d'étincelles,
quand nous vivrons d'étoiles.
Quand nous vivrons de tout et de rien, nous serons libres comme l'amour dans les draps au vent.

Le monde change de peau, sera-t-il laid ou bien beau?
Couvert de couleur peinture ou de vert nature?
Le monde change de peau."

Ouais. Voilà. J'trouve ce texte vraiment magnifique, et vraiment trop plaisant à jouer.

Everything. Everyone. Everywhere. Ends.

J'ai fini Six feet under. J'suis triste. Autant j'avais hâte de le finir pour voir la fameuse fin, autant, bin... môdit, c'est fini, pis j'peux pu en écouter. Ouuuuuiiiin. C'est comme une drogue. Y t'en reste pu, pis là t'as un manque.
Mais bref, quelle série. J'en ai pleuré une shot. C'est vraiment touchant comme émission. C'est drôle par moments, fuckin' triste par d'autres. Les personnages sont ô combien attachants, touchants.
Bref, wow. Courrez l'écouter.

Caméra café.

J'avais oublié que j'aimais cette émission.
Et je viens de me rappeler qu'on peut louer les saisons.
Hummm... qu'écouterai-je après Six feet under?
J'crois que je me taperai les Caméra Café. C'est juste beaucoup trop drôle.
Pis des bloopers de Caméra Café, ça l'est encore plusse.

"C'est important de rire dans vie."

Sourire.

"Y faut que je prenne ça en riant, sinon j'vais toute casser."

- Une cliente fâchée car sa fille lui a pas donné les bonnes heures de bus pis elle est pognée à Joliette jusqu'à 2h, pis elle est dans marde genre.

Quand elle a dit ça, j'me suis dit: "Dans le fond, crisse qu'elle a raison. Prenons ça en riant."

Merci madame. Vous m'avez collé une p'tite ébauche de sourire dans face.

Ciboire.

Ciboire.
Ce mot résume tellement de chose.
Ciboire.

Apprendre certaines choses pas trop plaisantes dans vie.
Les apprendre en lendemain de brosse. Avec 3 heures de sommeil.
Différence. Exponentiel. x5. au carré. au cube. à la dix.
Les veines drainées d'caféine.
Vieux maux là.
Mieux vaut là.
Reste qu'aurait mieux valu avant. Autrement.
Crisse.
Déception. Frustration.
Câlisse.

...Non... le plus satisfaisant pour la situation reste:
Ciboire.
Très ciboire même.
Tant pour si peu. Un livre en entier à jeter. Pleins de fuckailleries mentales inutiles.
Ciboire.
CI-BOU-È-RE.

(EDIT: J'vous jure. Si y'a un client qui m'fend les oreilles parce qu'il a pas regardé correctement les foutues horaires ou pour une quelconque autre raison insignifiante de crisse, aujourd'hui, y va voir que ça m'tente vraiment pas d'me faire chier avec lui.)

Chaque jour... j'me répète...

... mais j'm'en câlisse.
Redécouverte de La ligne orange de Mes Aïeux, qui a bercé mon automne fucked top.
Certaines de ces tounes me font un coup de masse direct dans le coeur.
Dont elle, que j'ai écrit jadis.

En ce moment, je l'aime, elle est belle, elle est bonne.
Enjoy, estie.

Rappel du 23 octobre:

Chaque jour, j'attends que tu reviennes,
chaque jour, mais tu ne reviens pas.
Chaque jour, je me rejoue la scène,
mais chaque jour les mots ne viennent pas.
Chaque jour, je remonte dans l'arène
chaque jour, mais je ne fais pas le poids.
Chaque jour que le bon dieu amène,
à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Chaque jour, à chaque jour suffit sa peine,
Chaque jour, mais la mienne ne s'en va pas.
Chaque jour, la triste loi de la moyenne.
Chaque jour me dénivelle vers le bas.
Chaque jour, juste une chose de certaine:
chaque jour j'avance vers le trépas.
Chaque jour que le bon dieu amène,
à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Chaque jour, les nouvelles sont les mêmes.
Chaque jour, les hommes n'apprennent pas.
Chaque jour, la paix semble lointaine.
Chaque jour, tombent tombent les soldats.
Chaque jour, la déchéance américaine.
Chaque jour sourit pour la caméra.
Chaque jour que le bon dieu amène,
à chaque jour, c'est l'enfer ici bas.

Lundi, mardi, quelle différence?
Mercredi, jeudi, rien n'a de sens.
Vendredi, samedi, vivement dimanche.
Et dimanche... pas de repos, pas de chance:
le lendemain, ça recommence.

Et si un jour il fallait que tu reviennes,
je jure que ce jour, tu n'me reconnaîtrais pas.
Je jure que ce jour, j'aurai une énergie soudaine.
Je jure que ce jour, je ne baisserai plus les bras.
Et si un jour, tu rallumais mes semaines,
je jure que ce jour je réécrirai l'agenda.
Et chaque jour, chaque jour,
chaque jour en vaudrait la peine.
Chaque jour, c'est l'amour que je chanterai ici bas.

Chaque jour, ça ira mieux demain.
Chaque jour, jamais demain ne vient.
Chaque jour, ça ira mieux demain,
mais chaque jour, remettre au lendemain.
Chaque jour, ça ira mieux demain.
Chaque jour, demain sera toujours demain.
Et puis un jour, ça voudra dire qu'il faudra bien,
un d'ces jours, prendre son vide en main.

Chaque jour, j'attends que tu reviennes.

- Chaque jour
Mes Aïeux

Ostie de toune, mon gars... et je pleure.

S'affirmer et communiquer.

Ce livre là, c'est vraiment excellent.


Ça aide, pour vrai. J'avais commencé à le lire, pis ça m'avait beaucoup apporté.
J'rush un peu ces-temps-ci à ce sujet-là, j'suis entrain de le re-lire / mettre en pratique. Quand tu t'y mets pour vrai, tu vois des changements, c'est satisfaisant, pis câlisse que tu te sens mieux dans ta peau. Ouais.
J'vous laisse avec le quatrième de couverture pour que vous sachiez ce qui en est.

S'affirmer et communiquer, c'est être capable d'exprimer ses pensées, ses sentiments, ses opinions, c'es dire "oui" quand on pense "oui" et "non" quand on pense "non", c'est demander, refuser, critiquer, répondre à des critiques, faire des compliments, répondre aux compliments, et tout cela d'une façon satisfaisante pour soi et pour l'autre. S'affirmer et communiquer, c'est aussi respecter l'autre en communiquant avec lui.

Basé sur les plus récentes recherches expérimentales en psychologie, ce livre constitue un programme de changement personnel que les auteurs ont expérimenté pendant trois ans. De façon simple et progressive, il guide le lecteur dans l'apprentissage des nouveaux comportements affirmatifs.

Sérieux, ça tue.

Ah bin, vous pouvez le lire sur Internet.
Ici.