mardi 21 avril 2009

D'la bédé, d'la bédé, d'la bédé.

J'veux lire d'la bédé! D'la vraie, dans mes mains.
J'ai pu de blogs à lire. J'me suis donc acheté 4 livres vendredi dernier.
Pour les avoir lue et relue sur les internets, je voulais en avoir dans mes mains. J'm'en suis donc acheté une de Iris (Justine) et deux de Zviane (Le point B et Le quart de millimètre) et un fanzine que les 2 ont faits, Stie qu'on est bin, racontant leur péripéties en France.
J'suis rentrée chez Fichtre! , sur deBienville pour la première fois, pis j'ai cru virer folle. Je VEUX de la BD dans mes yeux. Tout le temps.

J'ai d'ailleurs dévoré les 2 que Rox m'avait prêté. Ça s'appelle Maus, de Art Spiegelman.
J'vous shoot le synopsis de Wiki, jsuis vedge:

"Maus raconte, à travers le dialogue de l'auteur et de son père, l'histoire de celui-ci juif polonais, survivant des ghettos polonais et d'Auschwitz. On y découvre les persécutions nazies, depuis le début de la Seconde Guerre mondiale et l'invasion de la Pologne jusqu'à l'effondrement du Troisième Reich et l'immédiat après-guerre. Témoignage sur la Shoah, cette œuvre aborde la question de la survie à tout prix quand la loi est celle du plus fort, de l'antisémitisme juste après la Seconde Guerre mondiale. Le récit du père est entrecoupé de scènes montrant des relations difficiles entre un père et son fils, la difficulté pour l'auteur lui-même, juif de la génération « d’après » d’exorciser ce terrible passé, de se construire à l'ombre d'un survivant. Sans chercher à enjoliver, Spiegelman décrit son père comme un avare grincheux, caricature des stéréotypes racistes sur les Juifs. Il montre aussi son exaspération face aux obsessions et aux préjugés du vieil homme, préjugés aussi bien sexistes que racistes."

C'est bon, beau, sensible. J'ai beaucoup aimé.


J'en veux d'autres! J'en veux d'autres!

(site de Iris: http://monsieurleblog.canalblog.com/
site de Zviane; http://www.zviane.com/prout/ )

1 commentaire:

Mc BrutaLLL a dit…

Ostie que ça m'énarve Maus.

Vive: Jimmy Corrigan, Black Holes


C'est comme la drogue, vive celles qui sont dures.....