Les écrits restent.

Depuis le début de l'année, ça va super bien. Oui y'a eu des petits (gros) hics pendant le parcours, mais sommes toute, 'stie qu'ça va bien.

Avant, j'écrivais comme une accotée. Pas nécessairement sur le blog que j'ai délaissé, mais dans mes livres. J'ai commencé à écrire tout ce qui se passait, tout ce que je pensais, comment j'feelais.

Pour laisser une trace, pour pouvoir retracer ma vie plus tard, quand j'allais lire ça.

Malheureusement, je réalise que je n'écris que les passes poches. Que les trucs négatifs. C'est logique, c'est à ces moments qu'il faut que ça sorte, mais... tout de même. Ça a quelque chose d'un peu triste de ne pouvoir retracer que des moments plus malheureux, plus à vif. Tu t'en rappelles, tu relis, pis ça te laisse un gout... pas amer, mais c'est écrit tellement sans détour, direct, vif, que t'es capable de te replonger dans cet état. C'pas nécessairement agréable.

Cette année, j'avais pris à peu près 15 résolutions, pis j'crois que y'en a pas une que j'ai tenue. C't'année j'en prends pas. J'laisse ça aller.

Sauf peut-être me forcer pour écrire plus souvent, même quand ça va bien pis qu'enfin, y s'passe rien d'extraordinaire dans ma vie.

Des perles Mange-ta-villoise.

De un, ça:



J'ai comme découvert cette toune là c't'été sur le myspace de MHMHMH par pur hasard, j'ai trippé. Bernard Adamus y'é cool.
Le visuel Mange ta ville est beau. Les autours le sont tout autant. Quel vidéo. MHMHMH qui chante par-dessus = nice.

De deux, cette citation là de Taras Grescoe:

"Oui, Montréal est une fille de party, Mais cette fille a de la profindeur."

Pause fin-de-sessionnale.

Un bol de Sidekick au beurre et fines herbes (because pas fait d'épicerie depuis 3 semaines), Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban dans Monsieur Mac, le tout en pipo pis en ouaté, couchée dans mon lit.
Une p'tite pause. Mini. Après, j'm'y remets. promis.