samedi 24 octobre 2009

Pi..? des Éternels Pigistes.


Ok, en me relisant en bas, je trouvais que je ne faisais pas assez l'éloge de cette pièce!
Alors, allons-y.

L'histoire prend place dans un appartement montréalais, très classe, épuré, design. J'ai d'ailleurs vraiment aimé la scénographie. Dès que je suis entrée dans la salle, j'ai fait: "wow, c'est moderne, c'est classe." J'ai été un peu déroutée d'ailleurs car la salle était pas fait de la même façon que les dernières fois que j'étais aller à La Licorne. La scène (en fait... il n'y avait pas de scène en soi, le setting était sur le plancher) était fait très large.

Donc c'est l'histoire d'Emmanuel (Christian Bégin) qui suite à un accident de la route, est resté 17 minutes mort, avant de reprendre vie. Après plusieurs mois à l'hôpital, il revient dans sa vie, avec sa blonde Gabrielle (Marie Charlebois), mais rien n'est comme avant. Manu ne veut pas parlé de son accident, surtout pas de son passage dans la mort. Pour se changer les idées, Gabrielle réussit à le convaincre de faire un souper d'amis, avec Pierre-Louis et Sue (Pier Paquette et Isabelle Vincent), sous condition de ne pas parler du tout de ce qui s'est passé. Nous avons donc droit à ce souper, (où le beau-frère, Marc (Patrice Coquereau), viendra s'inviter en cours de route) où, évidemment, sous des conversations futiles ou désintéressées, planera des questionnements sur ce qui s'est passé, sur ce qu'il a vécu. Pis...?

J'ai vraiment adorée cette pièce où l'on se questionne sur le mort, sur la vie, mais surtout sur notre propre vie, celle que, supposément, l'on "choisit". Vraiment, dans cette pièce, j'ai rie autant que j'ai vraiment eu le moton (genre les larmes coulent et on doit faire des efforts surhumains pour ne pas sangloter.) Les acteurs sont vraiment excellents et ont tous leurs momentums durant la pièce. Au début, je trouvais le personnage de Isabelle Vincent trop effacée, mais quand son bout est arrivé, mon dieu, c'est là que les larmes ont commencées. Ça m'a aussi réconciliée avec Christian Bégin. Non seulement que j'avais oublié à quel point il était un grand acteur, mais j'ai découvert le génie de sa plume.

Cette pièce est une mine à répliques, monologues et dialogues QUE TROP intéressants. Dès qu'elle sort en livre, je l'achète. Le monologue du personnage de Marie Charlebois, lorsqu'elle vide son sac à Manu sur comment elle aimerait que leur relation soit, c'est comme... wow. Je VEUX faire ce monologue là un jour.
Le monologue de Sue qui scénarise sa mort... trop émouvant, si bien joué. Divin.
Il y a aussi le dialogue entre Marc et Manu où ils mélangent Pi (le nombre) et la situation que vit Manu, c'était du génie.
Ce qui est intéressant avec cette pièce, c'est que j'suis sure que tu peux la voir et la revoir, tu vas toujours découvrir des petits moments, des petites répliques et de nouveaux questionnements que tu n'avais pas souligné la fois d'avant.
Vraiment, c'est facilement dans mon top 3 de pièces que j'ai préféré!
- T'es comme la dernière décimale de Pi.
- Ça s'peut pas, elle existe pas.
- C'est ça.

Puissant.

En plus, c'est seulement 18,50$ prix étudiant!
Malheureusement, ce soir (à La Licorne) c'est la dernière journée. Mais ils font une tournée de 2010.
Longueuil le 16 janvier.
L'assomption le 2 février.
Ste-Thérèse le 21 février.
St-Hyacinthe le 14 mars.
(et d'autres mais genre très loin. disons que ce sont les plus proches. J'dois avouer que l'Assomption me tente.)

Théâtre, pluie et autres hasards.

Grosse soirée hier! D'abord, petit souper collectif entre copains, fort agréable.
J'ai même pu faire ma vedette rock, tant côté guitare, voix ou batterie.
Que de plaisir que ce petit jeu de Guitar Hero, ah la la. Beat it, Damnit, Linvin on a prayer et Eye of the tiger furent les quatres hits de feu-notre band.

Ensuite, direction La Licorne, pour voir la pièce Pi..? des Éternels Pigistes.
Wow. j'ai vraiment adoré. Les acteurs étaient justes et bons, la scéno était vraiment belle, les questionnements à travers le texte étaient vraiment intéressant, et le tout était aussi drôle que dramatique.

- Tu es comme la dernière décimale de Pi.
- Je ne peux pas, elle existe pas.
- C'est ça.

Ensuite, Oztara au Divan Orange!! Ça, c'était chaud et bon! Surveillez le prochain album, car les nouvelles tounes vont, selon moi, tout casser! Leur premier set était que leurs nouvelles tounes. Étant arrivées flush du début, pour le premier set on est resté plus derrière. Mais quand la masse s'est dirigé vers l'extérieur pour aller s'emboucaner les poumons, nous en avons profité pour faire un déplacement vers l'avant. Y faisait chaud mes amis! Ouh la la! Mais danser sur les vieilles tounes d'Oztara en chantant toutes les paroles entourée par pleins de hippies, ça te fait un back in the days pas pire pis c'est juste vrrrraiment plaisant. Oh Oui. J'étais vraiment contente des revoir en show. J'avais un peu oublié mon attachement pour eux. Le pourquoi je les aimais. J'les retrouvé j'crois bien.

Sinon, ensuite, en sortant du Divan, le DÉLUGE as fuck. ARKE. Faisait frette, on était tout trempe (tant à l'intérieur du manteau à cause de la chaleur de l'intérieur du divan tant à l'extérieur du manteau because la grosse pluie sale de marde de câlisse.)

Bref, retour à Joliette pénarde, faisait frette, mais on est inévitablement aller finir la soirée, Bingy et moi, à notre cher Interlude, où on a finalement vu notre militaire fêté un peu (euphémisme) sur la brosse, à beugler des maudites répliques de Contrat d'gars.

Bref, fuckin' belle soirée! vrinmint!

jeudi 22 octobre 2009

Bah ouais !

Y'a neigé aujourd'hui su' Montréal! C'tait beau!
Ma mi-session passée, la semaine de relâche qui arrive.
C'est quand ça va bien qu'on écrit l'moins... c'est un peu dommage!
Mais c'est d'même !
Crisse que j'suis heureuse. That's it baby!

samedi 17 octobre 2009

Monty Python

Vendredi matin. Cours d'analyse de productions culturelles.
Aujourd'hui, on aborde "la provocation".
Première partie du cours, bla bla général sur le thème.
Deuxième partie du cours, révélation: Monty Python.
J'sais pas je sors d'où pour n'avoir que très peu entendu parler d'eux, alors qu'ils sont probablement la raison pour laquelle 90% des gens qui font de l'humour ont eu envie d'en faire.
Ils sont à l'humour ce que les Beatles ont été à la musique. C'est peu dire!
Ils utilisent l'absurde, la vulgarité et la provocation à profusion.
C'est drôle, ça tombe pile dans mon genre d'humour.
Et Charles m'a prêté les TROIS films (Monty Python and the Holy Grail, Life of Brian et The Meaning of life) (merci d'ailleurs, pusher de films!) !!!!
Ouf, ça, ça fait mal dans une mi-session !

Sur ce, cette scène de The meaning of life:

dimanche 11 octobre 2009

Shit load photographique.







Et en prime, une bonne toune de Dumas:

dimanche 4 octobre 2009

MA MICHE!

Miche revient! Miche revient!
La la la li laaaaaa!
C'est la fêêêêêêêêête !!!!

vendredi 2 octobre 2009

Photobooth, 2.

Personnages du film d'hier:

Mon petit nombril.

OUÉÉ !
J'en avais déjà parlé sur mon blog, mais je le refais.
Allez voir le blog bédé de ce dude.
C'est tellllement cool ce qui fait, et il a recommencé à faire des posts.
C'est beau dins yeux.

Photobooth.

Mes hommages à Photobooth et ses effets des plus drôles.
Qu'on l'veule ou pas, à chaque fois que tu commences avec ça, tu sais qu'c'est niaiseux, mais câlisse que tu ris, et ris, et ris.
Comme de l'hélium.